![]() |
![]() |
Lettre de préfarce | ![]() MãSõ. |
|
![]() ![]() ![]() ![]() |
![]() |
par Nathalie Marcenes | ||
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
|
![]() MãSõ. |
Ce
n'était pas triste, ce que je viens de trouver à mon retour
de vacances, j'ai ri un peu-assez-beaucoup-passionnément-à
la folie, et JACK-POT, si tu veux !
Il n'empêche, ce que tu as fait là était aussi inattendu
qu'extraordinaire - saugrenu mais point sot. T'es baroque, t'es baroque...
(Je dis ça à ton perroquet) de A jusqu'à Z, car tu
aimes disséquer l'alpha qui en reste bouche B (moi aussi) :
tu greffes sur tes phrases des jeux de mots aux multi-sens sens-dessus-dessous.
Et puis, il n'y a pas à dire, tu as le sens de l'humour. (Avec
mes répétitions, tu vas finir par te croire sensé,
sensuel, sensible, sans l'sou...)
J'aime bien te lire, de toute façon. N'est-ce pas exemplaire qu'un
fonctionnaire détourne des papiers administratifs pour écrire
de douces folies ? Si ton but est de divertir il est atteint. J'apprécie
cet humour proche de ton, me semble-t-il, de la période Saint-Germain
des Prés - Existentialisme et de la « Nouvelle Vague »
des années 60, représentée au cinéma par Godard
et Truffaut... La vie en vers (péchés de Genèse) Affûtiaux bichlamars B... A... BA, Béatrice Grands patapons, petites prétentaines Fin du poteau (Juste en haut) Trois mots d'amour ou presque Table des matières |
Liens
à suivre : Kiosque © Voir l'article consacré à MãSõ. dans le « Dictionnaire des Anonymes » |
||
![]() |
N. M., le 26 août 1975 |
Optimisé pour Netscape 4 800x600 |