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Dix-sept | ![]() Loïse Margency |
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Rose, ma chère… | |||
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Loïse
Margency Rose, ma chère… |
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Rempiler au pilou face à qui me perd gagne, Robe en cloche de bois dont on fait si poupin Son poupon, son pin-pon : « T'as du feu mon tapin ? » Moi j'aurais, mijaurée, un ventre à la montagne. Gros, gras, obèse émoi me grimpant plein la fagne, C'est à qui ? C'est aqueux. Olé ! Trempe ton pain Dans la croupe. Un soupir : j'ai vu pire taupin ! Il est vrai que j'étais en rupture de khâgne… Joli tableau de classe, entre deux sangs et eaux : Cent zéros – sans Éros – Nathy gagnant les hauts, Quand je perdais mes bas maculés. Ma culotte M'atterre et ment en sorte : es-tu, trépas cinglé, Lourd de notre débit quand un type sanglote ? N'en restera pas moins que mon compte à régler. |
Avis
aux curieux ! Quelques zones secrètes sont cachées dans ce sonnet. À vos souris ! (De préférence sous Internet Explorer) |
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© Loïse Margency - 14 octobre 1978 |
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