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Loïse Margency
Préface Sonnet Seize Sonnet Dix-huit Sommaire Rose, ma chère…
Loïse Margency
Rose, ma chère…
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Rempiler au pilou face à qui me perd gagne,
Robe en cloche de bois dont on fait si poupin
Son poupon, son pin-pon : « T'as du feu mon tapin ? »
Moi j'aurais, mijaurée, un ventre à la montagne.

Gros, gras, obèse émoi me grimpant plein la fagne,
C'est à qui ? C'est aqueux. Olé ! Trempe ton pain
Dans la croupe. Un soupir : j'ai vu pire taupin !
Il est vrai que j'étais en rupture de khâgne…

Joli tableau de classe, entre deux sangs et eaux :
Cent zéros – sans Éros – Nathy gagnant les hauts,
Quand je perdais mes bas maculés. Ma culotte

M'atterre et ment en sorte : es-tu, trépas cinglé,
Lourd de notre débit quand un type sanglote ?
N'en restera pas moins que mon compte à régler.
 
  Avis aux curieux !
Quelques zones secrètes sont cachées dans ce sonnet.
À vos souris !
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Retour haut de page © Loïse Margency - 14 octobre 1978   Optimisé pour
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