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Vingt-cinq | ![]() Loïse Margency |
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Rose, ma chère… | |||
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Loïse
Margency Rose, ma chère… |
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Comme un ludion plongé dans l'eau māche sa danse, Amour ton vît, léger d'abord, cambre mes reins, Puis se fait lourd, clouant au lit deux corps étreints, Et nous sépare et nous remet en confidence… Les vitres s'embuant dissipent l'évidence Du couple appareillé : j'y vois, sous les embruns, Jeter sa gourme avec une fille à marins Certain mousse impromptu qui bande d'importance ! Quand, passerelle entre une et toi, l'entremetteur Tire d'une autre à moi son trait d'union menteur, (Vrai ! que grand-mère a bien fourbi mon héritage !) La plus belle du monde en donne tant et tant Que, par un tel objet, le plaisir s'avantage De saveur désuète au vieux bon air d'antan… |
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© Loïse Margency - 4 décembre 1982 |
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