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Vingt-sept | ![]() Loïse Margency |
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Rose, ma chère… | |||
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Loïse
Margency Rose, ma chère… |
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C'est là, ce cur, à petits coups de tendre au ventre, Lourd… Guère plus que d'y penser déjà, mais lourd ! Et puis qui bat si fort, tout bas, son plein amour ; Ça n'est pas gros comme le poing, tout s'y recentre. Ce fauve-là, quand il s'endort, sa nuit vous rentre Au fond du corps. Et chaque pas de trop, plus gourd, Ajoute encore une pénombre au poids du jour. Oui, mais le soir un vin mauvais réveille l'antre ! Alors des mots nouveaux jaillissent de nos mains, Caresses qui s'en vont par les quatre chemins Élever au bonheur d'ancestrales alliances : Car on sait des refrains légers à concevoir, Quand l'aube s'arrondit enfin de somnolences, Ceints de gestes ventrus qu'on ignorait savoir… |
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© Loïse Margency - 27 février 1989 |
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