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Quarante-trois | ![]() Loïse Margency |
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Rose, ma chère… | |||
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Loïse
Margency Rose, ma chère… |
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Marilyn avant moi – Norma Jean me pardonne ! – Brigitte, et j'en oublie au rang des vieux fourneaux, Quand elles se posaient à l'encart des journaux, Ne payaient au regard que son dû, sans maldonne. Qu'elle soit aujourd'hui Ciccioline ou Madone, La papesse du froc – hélas ! priez pornos ! – Trafique en chaude-baise et sur fonds vaginaux ; Le Top du Hit-Podium, c'est un cul qui fredonne. Au souffle du métro, soudain troussant Baker, Qu'il s'accointe halogène et turbocompresseur : Le hasard ne fait plus ses coups dans la dentelle… Enfant, je m'endormais Monroe ad libitum, Les seins tombés du nid, peut-être, mais si belle ! Quoi ? m'éveiller Ciccone !… Où est mon spéculum ? |
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© Loïse Margency - 19 octobre 1992 |
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