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Cinquante | ![]() Loïse Margency |
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Rose, ma chère… | |||
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Loïse
Margency Rose, ma chère… |
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On n'a rien fait de mieux que mes sonnets… Je gage En mon âme et conscience, et quel qu'en soit le prix, Qu'il n'est quatrain, tercet, valant ceux que j'écris, Non plus qu'alexandrin ni que rime. Dommage ! N'y aurait-on gravé qu'un somptueux verbiage, Quoiqu'on dût après moi traiter l'œuvre au mépris, Le Parnasse, du moins, se fût targué de gris Au lieu que de courir naguère à son naufrage. Certain soir que j'allais aux bois montrer mon cul, D'un maître coup de lyre à travers le vécu Voilà qu'à son credo la muse me baptise ! Naissance de Loïse et du poème… Osons Parfaire Hugo (sinon, qu'il m'en coûte un strip-tease) : Cet art n'avait qu'un an quand j'eus quatre saisons. |
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© Loïse Margency - 19 mai 1993 |
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