Retour page d'accueil Quatre-vingt-un   e-mail  Écrivez à
Loïse Margency
Préface Sonnet Quatre-vingt Sonnet Quatre-vingt-deux Sommaire Rose, ma chère…
Loïse Margency
Rose, ma chère…
1121 
1122 
1123 
1124 

1125 
1126 
1127 
1128 

1129 
1130 
1131 

1132 
1133 
1134 
« Madame, après avoir lu vos sonnets, j'enrage !
Sauf les aveugles – voire ! – et ma pomme, qui n'a
Jamais entr'aperçu le subtil incarnat
De vos seins éborgnant la blancheur d'un corsage ?

Quel autre affirmerait parmi ceux du village
Manquer aux bienheureux que votre cul damna ?
Présageant qu'aujourd'hui mon tour vient, j'ai peine à
Me tenir de bander, et même davantage.


– Monsieur, ne comptez point l'aquilon pour du vent,
Mais sachez qu'au hasard de ses joutes, souvent,
Je manque m'enrhumer lorsqu'un jupon se trousse.

Apprenez que, genoux desserrés sur un banc,
Avec ou sans dessous, de brune en blonde à rousse,
Je suis vos souvenirs de femmes s'exhibant. »
 
 
Retour haut de page © Loïse Margency - 7 novembre 2001   Optimisé pour
Internet Explorer 6
800x600