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Quatre-vingt-un | ![]() Loïse Margency |
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Rose, ma chère… | |||
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Loïse
Margency Rose, ma chère… |
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« Madame, après avoir lu vos
sonnets, j'enrage ! Sauf les aveugles – voire ! – et ma pomme, qui n'a Jamais entr'aperçu le subtil incarnat De vos seins éborgnant la blancheur d'un corsage ? Quel autre affirmerait parmi ceux du village Manquer aux bienheureux que votre cul damna ? Présageant qu'aujourd'hui mon tour vient, j'ai peine à Me tenir de bander, et même davantage. – Monsieur, ne comptez point l'aquilon pour du vent, Mais sachez qu'au hasard de ses joutes, souvent, Je manque m'enrhumer lorsqu'un jupon se trousse. Apprenez que, genoux desserrés sur un banc, Avec ou sans dessous, de brune en blonde à rousse, Je suis vos souvenirs de femmes s'exhibant. » |
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© Loïse Margency - 7 novembre 2001 |
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