![]() |
Cent huit | ![]() Loïse Margency |
||
![]() ![]() ![]() ![]() |
Rose, ma chère… | |||
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
|
Loïse
Margency Rose, ma chère… |
1499 1500 1501 1502 1503 1504 1505 1506 1507 1508 1509 1510 1511 1512 |
Tu étais l'adoré et voilà que la danse S'arrête à peine as-tu d'un rien lâché ma main. Suivre tes pas ne m'ouvre aucun nouveau chemin, Sans toi que j'aimais tant, et me laisse en souffrance… Tu étais l'adoré et je sais par avance Chaque larme ajoutée à mes larmes demain. Sans toi que j'aimais tant, sans les vivre en commun, Mes jours ne sont déjà qu'une éternelle absence… Je voudrais, mon amour, hurler aux quatre vents Ces mots doux qu'on murmure en silence aux vivants, Tant ! qu'un dieu pénitent dans mes bras te ramène. Mais les cieux restent sourds et ma rage s'y perd. Si les grandes douleurs sont muettes, la mienne Pèse alors moins qu'un pleur sous un boucan d'enfer… |
Tu étais l'adorée... | |
![]() |
![]() |
© Loïse Margency - Sally Pardaillan - 16 novembre 2014 |
Optimisé pour Internet Explorer 6 800x600 |