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Vingt-trois | ![]() Loïse Margency |
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Rose, ma chère… | |||
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Loïse
Margency Rose, ma chère… |
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« Il te manque les quatre autels de la sagesse Dont on mâche ses mots… » Les siens étaient mordants. Et, penaud, de moquer : « Tu n'as que vingt-huit dents ! – Cependant, la raison d'aimer, de quel âge est-ce ? » Il m'a dit : « Quand ton cœur ne serait que largesse, Sans le nu de ton corps pour m'y coucher dedans, Hors nos doigts chuchotés, sans moi, c'est trop peu d'ans Que vingt et un printemps. – J'aime une sauvagesse : Elle cueille à tous crins les brins de sa toison, Puis les souffle en baisers de par la nuaison. – Je la connais. Sais-tu sa prochaine folie ? – Elle est au nord de mes tourments, si chaque trait D'Éléonore assied que Loïse est jolie ! – Parjure ! quatre hôtels ne m'en auraient distrait !… » |
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© Loïse Margency - 28 septembre 1981 |
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