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Loïse Margency
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Loïse Margency
Rose, ma chère…
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Tu voudrais voir mon cul ? Mate plutôt mes fesses.
Et mes nichons ? Ah non !… Les seins, j'y compte bien.
Quant au con, pas question : c'est ma fleur sinon rien.
Mais pour la baise, hélas ! retourne à tes maîtresses…

Car, en amour, je suis de celles qui professent
Avoir tout à donner ou mesurer combien
Selon qu'on les en prie – ou non – comme il convient.
Tu crains le mal joli ? Moi, les mots quand ils blessent.

Toi qui prétends bander d'une longueur de bras,
Écarte de ma coupe étroite cette croix !
À mordiller les fruits, on gāte un cent de pommes…

Et sans fin tes exploits remis sur le tapis !
Sais-tu que je puis être, au dire d'autres hommes,
Madone des putains ? presque vierge ?… Tant pis !
 
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