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Quarante | ![]() Loïse Margency |
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Rose, ma chère… | |||
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Loïse
Margency Rose, ma chère… |
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Dès la fin mai, premiers soleils, les tours de garde Prennent leur poste en front de mer, le nez au vent. Enfin, le nez !… Là, sans bouger ou pas souvent, C'est planté droit sur l'horizon, et ça regarde. Ça veille à qui, l'œil en godille – oh ! par mégarde ! – Hante l'ajonc, l'oyat, la dune ; à l'estivant Tombé du nid, l'air d'un piteux engoulevent ; À ne surtout pas se planter au cul d'écharde. Quoique !… Vit-on jamais aucun épouvantail À cochons tant achalander son attirail ? Voire !… Tandis que ces pingouins font les andouilles, Sous chaque gland combien, cachés, se dorent nus ? (Autant ne point que pour la peau bronzer des couilles !) Mais quels jalons, retour du bain, mieux convenus ? |
Repris sur le forum DOCTISIMO |
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© Loïse Margency - 2 août 1991 |
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