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Soixante-treize | ![]() Loïse Margency |
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Rose, ma chère… | |||
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Loïse
Margency Rose, ma chère… |
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Ainsi, tu as gagné ce droit contre nature, De m'arquer comme un homme incertain le ferait… N'attends pas pour autant que j'y trouve un attrait : Femme, on peut se livrer par amour en pāture. S'ils volent sans appel par-dessous la ceinture, Mes fantasmes – nuance – au côté boucle ont trait. Ta langue lui convient ; même un doigt… parlons vrai : Ma boutonnière, en fait, se passe de bouture. La croupe au ciel, pointée en bouche de canon, Je suis l'éphèbe, nu, offert au vieux cochon. Matador, c'est un œil froncé qui te regarde ! Premier effort… Voilà ton gland presque engamé. Va ! puisqu'on l'a permis, prends-la jusqu'à la garde : Ma boutonnière, au fond, saura bien s'en pāmer. |
Publié aussi sur le site POÉSIE ÉROTIQUE et azutres amusements et sur le site POÉSIA |
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© Loïse Margency - 5 juillet 2000 |
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