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Quatre-vingt-sept | ![]() Loïse Margency |
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Rose, ma chère… | |||
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Loïse
Margency Rose, ma chère… |
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Surtout ne bouge plus, même un cil ! Imagine L'effet d'un sortilège, ou le coma… Mais dors, Crucifié sur ton lit, perclus de liens si forts Que je puisse à mon gré profiter de ta pine. Déjà, en ronde-bosse, elle a cabré l'échine Sous le boxer moulant. C'est trop peu, je la sors, Tel un vieux nouveau-né qui se défroisse. Alors, S'en exhale un soupir de bite et d'amandine… Son diamant, d'un baiser, s'effile… Peu s'en faut Que, raide entre mes doigts, je l'engame à nouveau, Sauf à laisser ballante une couille qui glande. Lorsque enfin ses trésors sont assez contemplés, Je m'empale et m'allonge, immobile. Toi, bande ! La suite, on la réserve au membre. Circulez ! |
Avis
aux curieux ! Une zone secrète est cachée dans ce sonnet. À vos souris ! (De préférence sous Internet Explorer) |
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© Loïse Margency - 26 novembre 2002 |
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