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Quatre-vingt-huit | ![]() Loïse Margency |
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Rose, ma chère… | |||
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Loïse
Margency Rose, ma chère… |
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Du fantasme au réel, je n'ai, pour un empire, Jamais d'un grand écart franchi le Rubicon. Si j'invente qu'un môme a vu de près mon con, Le mioche qui sommeille en vous, seul, me l'inspire. Gamins, vous en rêviez ! Tel écolier n'aspire Qu'à mater la maîtresse. Et tel autre aussi, qu'on Aurait cru sage, guette une dame au balcon. Mais sous leurs jupes : rien !… Qu'un néant d'ombre, ou pire ! Disons que je vous offre un nouveau souvenir D'enfance. Et vos mouflets, s'ils ont de qui tenir, Vont devant le buffet danser longtemps, je pense… Un gosse voudrait-il à tout prix voir mon cul ? Qu'il s'en débrouille ! Moi, sauf insigne malchance, Je sais la part du rêve et celle du vécu. |
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© Loïse Margency - 30 novembre 2002 |
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