![]() |
Quatre-vingt-douze | ![]() Loïse Margency |
||
![]() ![]() ![]() ![]() |
Rose, ma chère… | |||
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
|
Loïse
Margency Rose, ma chère… |
1275 1276 1277 1278 1279 1280 1281 1282 1283 1284 1285 1286 1287 1288 |
Je sais, j'avais juré, plus jamais une fesse À l'air, adieu public chéri… C'était ballot : Chassez le naturiste, il revient, le salaud ! Mais je croyais frôler d'un cheveu la vieillesse. Plutôt d'un méchant poil trop clair ; comme une espèce De marquage au fer-blanc près de l'aine, un grelot, Dénonçant que la belle a vu couler de l'eau Sous les jupons, que paume ou pas, mon sein s'affaisse*. Il fléchit, Bilitis ! Désormais le crayon Tient bon… Pas le clavier ! alors je dis « camion », Vous répondez « pouet ! pouet ! », et les rumeurs se taisent. De visu, démentons les propos médisants, Car le temps ne flétrit rien. Les courbes s'apaisent. Arthur ! on n'est pas vieux quand on a q(Biiiiip !)-deux ans ? |
* Voir le poème d'Éléonore de Villers, « Les seins de Lo », dans la rubrique des auteurs invités. | |
![]() |
![]() |
© Loïse Margency - 21 décembre 2002 |
Optimisé pour Internet Explorer 6 800x600 |