![]() |
Cent un | ![]() Loïse Margency |
||
![]() ![]() ![]() ![]() |
Rose, ma chère… | |||
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
|
Loïse
Margency Rose, ma chère… |
1401 1402 1403 1404 1405 1406 1407 1408 1409 1410 1411 1412 1413 1414 |
Rien qu'une fois encore être nue ; ou plutôt N'opposer nul obstacle au regard qui, sans gêne, Des lumières du sein aux pénombres de l'aine S'offre un dernier jeton… puis un autre aussitôt. Ne plus laisser ce bruit courir sous le manteau, Disant qu'une beauté fut mise en quarantaine Et se meurt, qu'elle est morte, hélas ! vive la reine ! Voyez, le temps m'épargne à cinquante ans bientôt. S'il se peut qu'à la scène enfin le rideau tombe, À la ville ce n'est pas déjà sur ma tombe : Quand celle que j'étais ne serait plus, je suis. Vivante, et belle autant qu'avant, mais différente, Plus sereine à présent malgré les jours enfuis, Je voudrais, s'il vous plaît, vous montrer si j'invente. |
||
![]() |
![]() |
© Loïse Margency - MãSõ. - 6 juin 2011 |
Optimisé pour Internet Explorer 6 800x600 |