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Loïse Margency
Préface Sonnet Cent un Sonnet Cent trois Sommaire Rose, ma chère…
Loïse Margency
Rose, ma chère…
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Ton membre entre mes doigts par à-coups se raidit.
Sous ma paume ta verge enfle et durcit. Ta bite
S'allonge dans ma main et, grandissant, palpite.
Bref, je palpe ton vît, toi tu bandes, c'est dit.

Lorsque je tiens ta queue, outre qu'elle grandit,
Au bout du dard étreint une goutte s'invite.
Coulant de ton prépuce à mon pouce si, vite,
Ma langue sur ton gland n'y pose l'interdit.

Il me vient un fantasme assez con, presque drôle :
Te tirer comme en laisse, empoigné par la gaule,
Ton noeud dans ma menotte, à travers la maison.

Des noms crus du pénis j'en connais le dizième.
Pine, zob, chibre ou zguègue, il en manque à foison…
Mais toi, quels mots sais-tu pour me dire « je t'aime » ?
 
 
Retour haut de page © Loïse Margency - MãSõ. - 28 août 2012   Optimisé pour
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