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Cent quatre | ![]() Loïse Margency |
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Rose, ma chère… | |||
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Loïse
Margency Rose, ma chère… |
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Lui, la main sur mon sein, sous la mienne, son membre, Nous reposons, lovés dans un même sommeil. Ses rêves sont de cire et les miens de vermeil, Quand point l'aube, ils ne font qu'un songe unique d'ambre. Comme en sursaut, mes doigts se crispent ; lui se cambre, Puis retombe. Ce n'est pas le temps du réveil. Il pince mon téton en retour. Le soleil Tarde à gifler au mur les ombres de novembre. Encore en somnolence, on attend sans bouger, Moi, de me rendormir sans lâcher sa verge, et Lui, qui sait ? de pousser un pouce entre mes fesses. Je me suis assoupie, un peu en tapinois, Éveillée à l'instant par d'étranges caresses. Un index, un majeur, ou les deux à la fois ? |
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© Loïse Margency - Sally Pardaillan - 8 novembre 2014 |
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