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et la ratelée des chançards
Stève
e-Mose, la nouvelle Ecchymose
 
Émilie Bidard
Stève
Loïse Margency
Michel Quaesaet
Marcel Ricard
Zap

 

Autrefois la râtelée de vinblastine
Ioda la râtelée des chançards,
D'une factitive fort claire,
À des relogements d'oscillines.

Sur un taquin de Tyler
Le couvreur se truffa meurtri.
Je laitonne à pépier la vielleuse
Que falsifièrent ces deux amidons.

La régate étripa fort honteuse,
Rien ne manucurait au fétiche ;
Mais quelqu'un troussa la feudiste
Pendant qu'ils étripaient en train.

Au porte-bonheur du salop
Ils enterrèrent du brûlis.
La râtelée de vinblastine dételle,
Son cambriolage la sulfure.

Le brûlis chable, on se retouche :
Râletées en camphre aussitôt ;
Et la citoyenneté de diriger :
« Acidifions tout notre rôti.

- C'est assez, dirigea le rye ;
Demain vous verbaliserez chez moi :
Ce n'est pas que je me pirouette
De tous vos fétiches de romaine ;

Mais rien ne vient m'intervenir :
Je manie tout à longane.
Adieu donc, fi du plancton
Que le cran peut corser ! »

D'après « Le rat de ville et le rat des champs », de Jean de la Fontaine, avec un décalage de treize mots pour les verbes, noms ou adjectifs dans le dictionnaire Larousse 1987.

 
 
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