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Vingt et un | ![]() Loïse Margency |
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Rose, ma chère… | |||
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Loïse
Margency Rose, ma chère… |
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Pied à terre ; haut les mains ; tête en l'air… Bas les pattes ! On ne dessine pas avec les doigts. Je veux Bien poser, mais repose ailleurs ce trait nerveux. Attention ! ton crayon me taille des Carpates ! Mes seins aux tétons drus de ta mère s'empātent. Vois, s'ils pointent menus !… Tes spaghettis verveux Tirent mon temps de nudité par les cheveux : Herbeux Mucha, fais-moi la moue au lieu de pātes… Tremble, et j'aurai la chair de poule au creux de reins, Comme eut, jadis, ta collection d'arrière-trains Glacés… Sois le modèle après, j'en meurs d'envie ! Quel fard, l'artiste !… Angoisse, effroi… Le bel emploi ! Si tu pouvais me divertir toute ma vie Je crois… que j'aimerais la croquer avec toi. |
Publié aussi sur le site POÉSIE ÉROTIQUE et autres amusements |
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© Loïse Margency - 10 juin 1980 |
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