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Trente-six | ![]() Loïse Margency |
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Rose, ma chère… | |||
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Loïse
Margency Rose, ma chère… |
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« Sous le mont de Vénus, voici les grandes lèvres Jusqu'où le poil pubien s'affole à mettre au pas Le débord d'une nymphe aliforme. Et plus bas, Ton vagin se devine à ses roses plus mièvres. Lorsque la vulve enfin cède aux doigts qui l'enfièvrent, Je viole du regard tes plus secrets appas : Capuchon, clitoris, vestibule… mais pas L'orifice urétral, hélas ! dont tu me sèvres. Or, il vient qu'affranchi du prépuce, mon gland Décalotté arbore un méat insolent. Pénis en érection, frémisssants testicules, Coïtons ! Que ma verge arque ton utérus ! – À la fin de l'envoi, mieux vaut que tu m'encules. Témoin ce fil qui pend : tout est pris, fors l'anus… » |
Publié aussi sur le site POÉSIA |
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© Loïse Margency - 28 mai 1990 |
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